Une boutique unique à découvrir

Voilà maintenant 5 ans que je visite l’Enfantillon quelques fois par année. Je vis à Montréal et ce n’est jamais vraiment sur mon chemin, mais c’est un détour que je prends grand plaisir à faire parce que cette boutique possède une offre unique que je ne trouve pas ailleurs.

Une offre unique, se démarquer, voilà un immense défi dans toute l’étendue de ce que nous offre le commerce au détail aujourd’hui. Et croyez-moi, je parle en connaissance de cause: j’ai moi-même ouvert ma boutique en ligne  (je n’ai pas encore pignon sur rue!) V comme Coossa l’an dernier, où j’essaie d’encourager les artisans et créateurs locaux. Donc je vois les défis auxquels Caroline - la propriétaire de l’Enfantillon - fait face et je comprends qu’il faut toujours se battre pour obtenir ET surtout garder sa place devant les géants qui nous entourent.

Il ne faut jamais sous-estimer le bouche à oreille car c’est une technique efficace pour se faire connaître. La preuve? C’est en 2013 qu’une maman rencontrée à la garderie de mon fils Léo m’a parlé avec enthousiasme de la boutique. Je me rappellerai toujours de sa surprise: - « Quoi? Tu ne connais PAS l’Enfantillon...??» 

- «Euh non... pas encore...» lol

C’est comme ça que la semaine d’après, je suis entrée chez l’Enfantillon sans attente, et surtout sans savoir que ça allait devenir... ma caverne d’Ali Baba! 

C’est un fait, au fil des ans, j’ai trouvé tellement de pièces uniques et adorables : des t-shirts Paul Smith et JPG , des pantalons Munster, des pulls Hugo Boss, le tout à des fractions du prix régulier, sans compter les marques originales que j’y ai découvertes.

Bref, l’Enfantillon m’accompagne maintenant au fur et à mesure que mon fils avance en âge et comme ce dernier, la boutique aussi a grandi ( et déménagé ) l’an dernier dans un nouvel environnement zen et relax. 

L’Enfantillon relance même son site web ce mois-ci, clair et facile à naviguer, pour vous permettre - et à moi aussi - d’acheter des petites et grandes trouvailles à un prix abordable, et ce dans le confort de notre foyer. 

Qui dit mieux? 

Virginie Coossa